Bilan matériel : les sandales pour rouler

Pour rappel il s’agit de Keen Commuter.
J’ai adoré. Elles ont exactement répondu à ce que j’avais prévu. Il faut bien sûr penser la solution de manière globale, en « couches » pour s’adapter à toutes les conditions climatiques, mais une fois qu’on est ok sur le principe (rajouter des surchaussures pour le froid, des chaussettes étanches pour la pluie) ça marche très bien.

Si c’était à refaire je prendrais exactement les mêmes. Avec des chaussettes noires unies on ne voit pas que c’est des sandales sauf à regarder de près, donc c’est relativement passe partout même en ville. J’ai malgré tout apprécié ma paire de petites ballerines Adidas pour l’intérieur et pour les balades à pied pour éviter d’avoir la cale qui fait clac-clac sur le pavé et avoir un peu un meilleur grip en rando (sur les rochers les Keen c’est un peu casse-gueule).

De son côté Hélène ne regrette pas les chaussures de rando Merrell. Le drame fut d’avoir à les remplacer par des D4 pas géniales (trop peu respirantes, trop étroites) sur la fin du voyage, puis quelques semaines après par une autre paire de Merrell (elle ne supportait plus les D4) qui se sont révélées très fragiles au niveau des crampons, pas très adaptés à une friction contre les « dents » des pédales plates.

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