Archives mensuelles : juillet 2010

Geoloc

Juste pour info on teste la geoloc pendant notre premier galop d’essai en Angleterre : www.olivierbouillaud.com/geo

Notre progression régulièrement mise a jour.

Merci encore Edouard (si tu lis ce post un jour) pour l’application iPhone développée rien que pour moi.

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Encore un vélo bizarre

Décidément c’est la période…

http://www.journaldugeek.com/2010/07/09/un-velo-cadenas

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Ils n’ont pas l’air de le faire en version tandem :(

http://www.greendiary.com/entry/pterosail-gears-up-for-cross-country-sailing-adventure-on-wind-and-solar-power/

Sinon ça a l’air bien sympa !

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Coup de blues

L’autre soir coïncidence : alors que jusqu’à présent Hélène et moi étions plutôt en décalage niveau ressenti sur le projet (genre je suis à fond dedans et LN est plongée dans autre chose, puis l’inverse quelques jours après), ce soir là donc, nous étions tous les 2 dans le même état d’esprit :

Comment maintenir la motivation dans l’existant quand on sait que tout va s’arrêter ?

Concrètement ça donne : « j’ai eu un premier rendez-vous avec cette patiente, c’était super dur car à première vue il va falloir qu’on travaille 2/3 ans ensemble et pourtant je sais que je serais partie avant ».

de mon côté « projet foireux, encore reporté… est-ce qu’il faut que je m’acharne sur le planning pour essayer de voir sortir quelque chose avant mon départ ou alors alors est-ce qu’il ne vaut pas mieux me résigner, laisser filer quitte à avoir passé 1 an sur le projet et partir avant de voir la mise en production ? »

Ce sont des situations très difficiles à vivre, car l’échéance est très loin (260 jours) donc il est un peu tôt pour se démotiver mais quand les sujets évoqués dépassent ou risquent de dépasser ce délai comment réagir ?

En discutant ensemble on a pu néanmoins faire ressortir quelques points (si ça peut aider un jour des personnes dans notre situation) :

La transmission. Peut-être qu’en effet, égoïstement on ne sera pas là pour constater le résultat de tel ou tel travail. Néanmoins d’autres après nous (revente du cabinet pour LN, remplaçant ou collègues pour moi) prendront la suite. Dans les 2 cas, il y a un intérêt fort à transmettre quelque chose de positif. La valeur du cabinet d’Hélène est définie par son travail dans la durée, et ça inclut notamment les derniers mois. 6 mois d’inactivité et la réputation du cabinet disparaît. 6 mois de mauvais travail c’est pareil. Donc la valeur va avec. De mon côté comme je l’ai déjà évoqué, j’ai une équipe exceptionnelle autour de moi, même si en effet je ne croiserai probablement pas mon successeur, je n’ai pas envie de laisser derrière moi un champ de ruine, de trucs qui ne marchent pas, qui plantent, de projets à l’abandon… ne serait-ce que pour eux, j’ai envie de faire autant que possible afin de transmettre quelque chose de propre aux personnes que j’apprécie.

La clôture. Je pense qu’on peut être tenté de saborder ce qu’on a fait précédemment afin de pouvoir se dire « je n’ai rien à regretter c’était pourri/foireux/nul/… ». C’est sûr que c’est probablement plus simple. Néanmoins je suis persuadé que passé ce premier stade il est en réalité beaucoup plus enrichissant de partir l’esprit léger en sachant qu’on a fait les choses correctement, qu’on laisse derrière soi quelque chose dont on peut être fière.
Je me suis souvent posé la question lors des démissions de personnes s’il valait mieux qu’on les regrette régulièrement, genre « ah mince c’est Machin qui savait ça, c’est con il est plus là, il aurait pu nous aider » ou plutôt qu’on n’ait pas besoin de faire appel à elles.
Là encore au premier abord, ça parait flatteur de se croire indispensable. Mais d’expérience, la réalité c’est plutôt que si on a besoin de se rappeller d’untel (parce qu’on cherche à comprendre un bout de code de site web ou qu’il nous manque un document) c’est souvent de manière négative « ah ce truc cherche pas à comprendre c’est Untel qui l’a codé, il n’y a que lui pour le comprendre » (sous entendu « pour avoir codé une telle ineptie »).
Bref je pense que clôturer de manière positive quitte à ce qu’on soit oublié rapidement c’est probablement la meilleure preuve qu’on a bien fait son travail !

Bon sinon pour le coup de blues, on se dit que dans moins d’une semaine on est en vacances pour un mois, ça aide pas mal 🙂

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Banques et assurances

Même si les interrogations sur les assurances restent entières, on a déjà avancé sur la partie « Visa Premier » puisque ça y est on a un compte chez Boursorama.

Outre le côté assurance rapatriement, c’est également une très bonne idée pour l’aspect plus terre à terre de « banque » puisqu’ils ne prennent pas de frais fixes sur les retraits de liquide à l’étranger hors euros (contre 3,30 € par retrait chez la poste bancale) et que la commission variable est l’une des moins chères (1.99% chez Bourso contre 2.3% à la Banque Postale).

Idem pour les paiements : 1.99% chez Bourso contre 2.3% (avec 1 € de perception minimum) à la Poste.

Il me semble que beaucoup de banques françaises ont ce genre d’attitude commission fixe sur les retraits et minimum de perception sur les paiements, ça n’est pas limité à la Poste.

Et ça tombe fichtrement bien de ne pas avoir ces commissions à payer, parce qu’on part un mois en Angleterre et là bas, outre le fait qu’ils roulent du mauvais côté de la route, ils ne payent pas leur pudding avec des euros les idiots !-)

Sinon, si on y stocke (beaucoup de) ses petites économies Bourso peut vous filer une carte Visa Premier gratuitement (contre 123 € par an à la Poste !). Ce qui nous fait un compte courant avec un accès au net, un chéquier, des virements entre banques gratuits, une carte de paiement… pour 0€ annuels.

Bien sûr il y a des inconvénients à la banque dématérialisée : ne pas compter sur un guichet (il y en a mais très très peu), ni sur un conseiller financier fixe dont on a le n° de portable. Pour le côté voyage, le guichet on s’en fiche un peu. Hormis la HSBC (et peut-être d’autres banques que je ne connaitrais pas) il n’y a pas vraiment de banque internationale ou même européenne. Donc une fois sorti de la France je ne suis pas certain qu’on ait réellement un avantage à être dans une banque plus qu’une autre.

Compter sur son conseiller financier c’est peut-être un avantage, reste à savoir combien de banques en France proposent encore des vrais conseillers sur lesquels on peut compter (« ah il est en RTT » ou « il a été remplacé par Monsieur Machin ») et qui ne passent pas leur temps à répondre « ah pour ce genre d’opération moi je ne peux rien faire il faut appeler tel numéro »… celui du centre d’appels où tu ne tombes jamais sur la même personne. Mon expérience à la Poste n’est sûrement pas représentative des banques en général, mais jusqu’à présent le côté « conseiller financier personnalisé » ne m’a pas semblé si indispensable que ça (change trop souvent, ne me connait pas, s’en fout, n’est pas là…). Les téléconseillers font le même travail et sont disponibles plus largement (8h-22h en semaine, un chouilla moins le samedi) que dans les banques traditionnelles, c’est tout bénef. En plus le gros avantage c’est que 100% des opérations sont prévues pour être réalisables sans avoir besoin de se rendre à son guichet (vive internet tout est souvent gratuit via le site, et à défaut le téléphone ou le courrier permettent de répondre au reste des interrogations). Parfait pour le voyage !

Dans tous les cas, on va conserver 2 banques, ne serait-ce que pour assurer nos arrières en cas de pépin, c’est l’avantage de ce genre de situation : 0 surcoût, ça serait dommage de ne pas en profiter je trouve.

Heu sinon c’est pas une pub déguisée pour Boursorama (même si je peux vous parrainer et vous et moi y gagnerons quelques euros au passage si ça vous branche), ING propose quasiment les mêmes genres de services. C’est juste moins adapté à la problématique du voyage : ING n’offre une Mastercard Gold (et ses prestations d’assurance qui vont avec) que si on domicilie ses revenus chez eux (avec un minimum mensuel requis). Hors dans notre cas on va dire qu’on ne peut pas trop compter sur une certaines linéarité de nos revenus pendant notre voyage… et à ma connaissance les MasterCard sont un chouilla moins acceptées que les VISA en Europe.

Voilà en direct du décryptage des « banques pour le voyage », je rends l’antenne, à vous les studios.

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